Exercice : Choisir ses mots subordonnants
Il est temps de mettre en pratique ce que vous avez pu découvrir ou redécouvrir dans ce qui précède.
On commence par les subordonnants : conjonctions de subordination ou locutions conjonctives. Dans les phrases qui suivent, extraites de rapports de débats au Sénat, il vous est demandé de choisir les termes qui vous paraissent convenir.
Pour cela, n'oubliez pas : faites bien attention à tenir compte du sens des propositions en jeu, des liens qui les relient, mais aussi de leur caractère plus ou moins hypothétique.
Et aussi, n'oubliez pas à la fin de cliquer sur Et n'oubliez pas non plus de regarder la reprise qui suit le corrigé : vous y trouverez des explications pour chacune de vos erreurs : il vous suffit pour cela de cliquer sur les termes qui vous intéressent. |
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Vous avez réussi ?
Comme d'habitude, vous trouvez ci-dessous des explications en cliquant sur les subordonnants qui vous font difficulté. Et si le problème persiste, relisez les fiches, et ... recommencez ?
La cellule de crise a continué de fonctionner tandis que[1] le gouvernement rassurait l'opinion publique sur l'évolution de la situation.
Aucun décideur public n'a pensé à interroger les entreprises funéraires avant que[2] n'apparaisse le besoin de réaliser, en catastrophe, une première évaluation du nombre des victimes.
Une fois que[3] le marché s'est transformé vers les appareils les plus performants, on peut mettre en place les réglementations.
Des effets aggravants en termes de dégât sont aussi liés à l'absence de décision politique concrète puisque[4] les habitants de La Nouvelle-Orléans réclamaient depuis plus de 50 ans des travaux de consolidation sur les digues.
Un excellent moyen de progresser dans une langue étrangère consiste à l'utiliser dans un but précis, de sorte que[5] la langue devienne un moyen d'atteindre un objectif
plutôt qu'une fin en soi.
La forêt française a été gravement touchée par les événements de l'été, quoique[6] la pérennité de la forêt ne semble pas menacée, notamment du fait de son étendue et de sa vitalité.
Il a considéré que, si[7] les partenaires sociaux pouvaient contribuer à l'équilibre économique du secteur culturel, ils ne pouvaient régler toutes les questions liées au financement de la culture.
La première peut intervenir à tout moment, notamment au cas où[8] des circonstances imprévues créeraient un état de pénurie général.
Ainsi que[9] l'avaient prophétisé certains chercheurs il y a plus de vingt ans, Internet et les nouvelles technologies sont devenus omniprésents dans notre quotidien.